[Review] SeeUrank : Logiciel d’audit et d’analyse SEO

Voilà deux semaines que la rentrée a été annoncée et il était temps pour moi de sonner la reprise de l’activité sur le blog. Ainsi, je vous propose de découvrir aujourd’hui l’un des outils SEO français les plus connus : SeeUrank.

Après avoir testé cognitiveSEO, je me suis dit que tester un logiciel plus généraliste et par la même occasion français serait l’idéal. Voilà pourquoi j’ai décidé de commencer l’année (scolaire) avec cet article consacré à ce bel outil réalisé par la société Yooda.

Au sommaire, un tour complet en vidéo du logiciel et de ses outils en ligne (Webtools), et une interview de Lionel Miraton, responsable webmarketing, qui me fait l’honneur de représenter la société Yooda aujourd’hui. Bien sûr, c’est sans compter mon avis écrit qui n’est ni plus ni moins que le résumé de la vidéo.

Mon avis sur SeeUrank

J’ai connu Yooda il y a de nombreuses années avec un petit utilitaire appelé Yooda Map. Il permettait notamment de réaliser des sitemaps selon les normes de l’époque. Aujourd’hui, SeeUrank intègre ce petit utilitaire ainsi que des dizaines d’autres et nous permet de faire un nombre conséquent de choses en SEO. En effet, cette suite d’outils réalise de manière quasi-automatisée des audits et des analyses SEO axés sur 8 panels de fonctionnalités : suivi du positionnement, veille concurrentielle, analyse des backlinks, audit de site web, analyse de page HTML, suivi de l’indexation, analyse concurrentielle SEO en ligne et enfin suggestion de mots-clés.

A travers ses différentes fonctionnalités, SeeUrank offre une multitude d’informations qui permettront à tout consultant SEO, agence web, ou encore webmaster… de réaliser un travail plus ou moins poussé sur un site internet quelconque. Cependant, ce logiciel est assez différent d’une solution comme cognitiveSEO ou autre. En effet, un cognitiveSEO se focalisera sur le volet popularité, les backlinks, le positionnement, tandis qu’un outil comme SeeUrank se focalisera sur plusieurs domaines à la fois. C’est donc une solution généraliste qui permet d’aider à améliorer un site et une partie de son environnement afin d’avoir une base saine et fiable.

Côté caractéristiques et fiabilité, Yooda a bien travaillé et nous offre des données fiables qui peuvent encore plus se préciser avec l’ajout d’un compte Google, Majestic SEO ou Ahref. Le petit bémol se trouvera juste au niveau de la vitesse d’analyse qui est relativement longue avec une fibre 100 mega upload/100 mega download. Inconvénient de toute façon constaté dans toute solution logicielle et qui sera surement corrigé avec l’arrivée du SaaS comme pour les Webtools.

Ensuite, niveau prix, je ne peux que mettre une bonne note et dire que le ROI est présent. Au-devant des nombreuses fonctionnalités, de l’aspect généraliste de la solution, des libertés fonctionnelles quasi-illimitées, le retour sur investissement est plus que bon. Il n’y a effectivement pas grand chose à dire de ce côté. On pourrait peut être parler de la version Cloud où le prix est peut être un peu élevé par rapport aux autres offres, mais cela nous fait théoriquement gagner du temps. Et le temps, c’est de l’argent.

En bref, SeeUrank est fiable, intuitif, ergonomique, pas bien cher, et fait son boulot. Les seuls bémols sont la vitesse d’analyse et l’orientation de certaines fonctionnalités qui tendent à devenir un peu vieille, mais tout cela semble être en phase d’amélioration comme l’indique Lionel Miraton dans l’interview à la suite de cette partie. En clair, je le recommande pour les stratégies SEO classiques et non-poussées vers l’optimisation parfaite d’un site, où il faudra le compléter avec un autre outil plus spécialisé (ou avec des séances de consulting personnalisé pour vous webmaster).

[EDIT 15/09/2014, 9h55 : Comme précisé dans la vidéo , il semblerait que la vitesse de chargement soit impactée par l’utilisation de la version sérénité ou non. Pour ce test, la version sérénité, normalement activée, semble ne pas avoir été mise en place correctement. L’analyse aurait donc été plus rapide théoriquement avec cette version sérénité. Voir le commentaire de Lionel en fin d’article pour les précisions.]

Interface de Seeurank pour la performance
Analyse de la performance

Interview de Lionel Miraton

Pour cette deuxième interview, j’accueille une personne relativement connue de la communauté SEO : Lionel Miraton. Comme pour cognitive SEO, je vous invite à poser toutes vos questions en commentaire, nous nous ferons une joie de vous répondre. Bonne lecture !

Thomas Cubel : Bonjour Lionel, merci d’avoir accepté cette interview. Tu viens aujourd’hui représenter la société Yooda, créatrice du logiciel SeeUrank en test sur ce blog. Afin de débuter cette interview, pourrais-tu rapidement nous présenter ta personne ainsi que la société Yooda en parcourant son histoire, son équipe ou encore ses valeurs ?

Lionel Miraton : Bonjour Thomas !
J’ai débuté le web et le SEO en 1999, au cours de ma première expérience professionnelle. Une communauté de pionniers s’est rapidement créée. C’est une des raisons pour lesquelles j’adore le SEO !
Après avoir tenté d’installer une activité de consultant webmarketing, j’ai eu l’opportunité de rejoindre Yooda en 2006. J’étais le premier salarié, nous étions trois. Je suis polyvalent et j’y ai occupé des postes différents au fur et à mesure de la croissance de la société. Désormais, mes responsabilités se sont stabilisées autour du webmarketing, qui est mon métier de base. Cela dit, j’interviens également sur la formation, le support client lorsque c’est nécessaire, et pour spécifier certains projets internes ou produits.

Durant ces 8 années, l’entreprise a fait beaucoup de chemin. Nous avons toujours eu la satisfaction client en tête… mais je me dis qu’on a quand même plus de moyens pour y arriver aujourd’hui. Nous sommes aujourd’hui 14, avec des petits pics à la hausse selon les besoins. Malgré la croissance, cela reste une entreprise où il est agréable de travailler, où le niveau d’exigence te pousse à apprendre et à t’améliorer.

TC : Effectivement, j’ai vu passer sur Twitter un appel à candidature, ce qui montre une certaine croissance, c’est très bien et j’espère que cela continuera pour vous ! Du coup, nous avons pu voir dans cette critique l’ensemble des fonctionnalités de SeeUrank. C’est un outil qui touche à beaucoup d’axes pertinents comme la technique, le contenu, la popularité, mais aussi la concurrence, l’indexation et plus encore. Comment en êtes-vous arrivé là ? Quel est le but de SeeUrank ?

LM : Le cœur historique de SeeUrank est le reporting de positionnement. Cependant, dès 2009, nous avons conçu que les SEO devraient analyser toujours plus de données touchant à des leviers SEO multiples. Nous avons alors décidé de positionner SeeUrank comme un outil « pro et haut de gamme », sachant que ce haut de gamme deviendrait à terme le standard.
La version Falcon de SeeUrank, sortie fin 2010, est la concrétisation de cette vision. L’outil est désormais autant un outil d’analyse que de reporting, des différents leviers SEO.

TC : Du coup, selon toi, quelles sont les meilleures fonctionnalités et les points faibles de ce logiciel ?

LM : L’outil a les défauts de ses qualités. Il offre beaucoup de profondeur d’analyse, proposant des indicateurs de synthèse comme des indicateurs très détaillés. Pour les nouveaux venus en SEO, le gâteau semble parfois un peu gros. Mais je crois que c’est le métier lui-même qui veut ça.

Fenêtre des mots-clés SeeUrank
Analyse des Mots-clés

TC : Quand on débute, effectivement, cela peut paraître gros, mais le SEO se spécialise de plus en plus, donc c’est peut être mieux pour protéger notre savoir-faire (les vendeurs de rêves finiront par se faire démasquer en n’y connaissant rien). Enfin, c’est un autre débat. Qu’utilisez-vous comme technologies pour pouvoir réaliser ce gros travail essentiellement automatisé ?

LM : Nous avons acquis une solide expérience sur le langage Delphi, qui a l’avantage d’être un IDE robuste et pérenne. Depuis quelques temps, les techno du Cloud et du Big Data sont venues compléter notre arsenal.

TC : Ah, l’ère du big data et de la tête dans les nuages ! Il est vrai qu’il est difficile de ne pas y penser. Par la même occasion, comment le développement est-il organisé au sein de la société ? Vous mettez vos idées en commun puis vous définissez des priorités ? Vous interrogez vos clients et/ou des professionnels du SEO ?

LM : Nous avons une équipe de développeurs qui développe et maintient l’ensemble de nos outils et produits. Ils ont donc plusieurs produits à gérer, ce qui suppose une sacrée maîtrise… et j’avoue que parfois on malmène un peu leurs plannings.
Les propositions d’innovations peuvent venir de n’importe où : du commercial, du marketing, de la technique ou directement la communauté SEO. Mais bizarrement, la plupart des fonctionnalités qui constituent aujourd’hui la valeur ajoutée des outils sont des idées qui n’ont jamais été formulées par la communauté. C’est pour cela que nous veillons à comprendre l’évolution des pratiques et des besoins des professionnels. Ce travail est facilité par les relations amicales et de confiance que nous entretenons avec des professionnels, ou la participation à des évènements, lieux d’échanges privilégiés et très très conviviaux.

TC : Parlons un peu des Webtools. J’ai beaucoup aimé la recherche de mots-clés qui reste assez pertinente comparée à d’autres solutions sur le marché. Cependant, j’ai soulevé le fait qu’il manquait un petit quelque chose dans tous ces générateurs, je parlais notamment de la sémantique. Par exemple, le mot-clé « Location » est quasi-devenu « louer » pour Google aujourd’hui. Que penses-tu à propos de ce sujet vaste qui traite des relations et de la signification des mots ? Avez-vous prévu des améliorations afin d’aller dans ce sens ?

LM : Dans l’immédiat, plutôt que la sémantique à proprement parler, nous avons un programme de R&D sur le classement thématisation des mots-clés. Cela ouvre des perspectives intéressantes sur le classement thématique des contenus, des liens, ou sur la recherche de mots-clés…

TC : Cela a l’air très intéressant. J’ai hâte de voir le résultat de vos recherches et de vos développements ! En automatisé, il n’y a pas grand chose ! Venons-en aux prix maintenant. L’ensemble des offres proposées par Yooda est relativement abordable excepté la version Cloud qui n’utilise pas les ressources internes d’un ordinateur (du moins, pas de manière poussée). Comment vous situez-vous par rapport aux autres logiciels et outils du marché ?

LM : Les solutions SEO en cloud se sont beaucoup développées ces dernières années. Elles offrent l’avantage de la mobilité, de pré-procéder aux crawls et aux calculs. C’est parfois très avantageux comme sur l’analyse des backlinks. L’inconvénient est le coût. Tout le monde ne peut pas rentabiliser des solutions SEO complètes en cloud à 500$ par mois. Avec SeeUrank Cloud, nous avons essayé de conjuguer les bénéfices du cloud, et le coût réduit et la puissance inégalable d’une solution logicielle.
Cela étant dit, nos futurs projets sont prioritairement basés sur du SaaS.

TC : Vous avez raison de penser à cela, le SaaS est très important et très recherché aujourd’hui, nous sommes de plus en plus exigeant. Par ailleurs, nous pouvons observer différentes offres : « E-commerce », « Agency », «Sérénité », « Cloud » qui vont de 39€HT/mois à 199€HT/mois. A qui est réellement destinée cette suite d’outil finalement ? Quelle est votre principale clientèle ?

LM : La clientèle est encore majoritairement composée d’agences SEO/Web. Cela étant dit, la part des SEO « in house » dans nos clients est croissante.

Volet indexation SeeUrank
Volet indexation

TC : Yooda dispose d’un blog que tu maintiens régulièrement à jour. Nous pouvons notamment y voir un certain nombre de tests. Dans quelles circonstances/environnements sont effectués ces tests ?

LM : Au-delà de l’actualité, le blog propose 3 types de contributions de fond : Les tests, les études et les bonnes pratiques.
– Les tests sont des tests unitaires. On essaie d’isoler le rôle d’un seul facteur SEO (le dernier test SEO : Comment optimiser vos vidéos Youtube).
– Les études sont plutôt des statistiques construites sur un jeu de données que nous possédons (notre dernière étude SEO : Les 100 « meilleures » pages en SEO ?)
– Les bonnes pratiques font elles un état de l’art sur un sujet SEO (exemple : 7 conseils pour réussir son SEO international).

TC : Tu fais bien de citer les deux autres types de publications, j’ai trop d’affinités avec les tests ahah ! Changeons de sujet et dirigeons-nous vers le SEO de manière générale. Que penses-tu de ces dernières annonces concernant le HTTPS, la fin de l’Authorship… ?

LM : La généralisation du HTTPS me parait une poursuite de la volonté de Google sur la vie privée (mais faites ce que je dis, pas ce que je fais) et sur les enjeux politico-économiques qu’elle rêvait pour Big-G. J’avais proposé une thèse à ce sujet à l’occasion de la révélation de « Heart Bleed ».

La fin de l’Authorship m’a en revanche surpris. J’imagine que cela devait baisser les revenus d’Adwords. Cela étant dit, j’accueille toujours ce type de déclarations avec prudence. Ne plus afficher l’Authorship n’implique pas que les ranking Google n’en tiennent plus compte.

TC : J’ai à peu près le même avis que toi sur l’Authorship. Pour le HTTPS, je dirais simplement que c’est pour se faire bien voir. Que penses-tu de notre ami Google finalement ? Sa politique, ses achats réguliers, son fonctionnement ? Que détestes-tu le plus chez cette grosse multinationale ?

LM : Le moteur de recherche n’est plus la pierre angulaire de la stratégie de Google. C’est sa régie publicitaire qui est devenu le pivot des ambitions de Google. Il me semble qu’une des tentatives les plus révélatrices de cette ambition est Google Now (même si ce n’est pas franchement une réussite en pratique). Google Now ambitionne de répondre aux questions que vous ne posez pas, grâce à sa connaissance de vos préoccupations, de votre emploi du temps, et caetera.

Pour le reste, j’ai toujours vu le web comme un écosystème. Une mare où plein de petits acteurs se battent pour leur survie. Force est de constater que Google a confisqué des pans entiers de cette marre, et régule le web presque à sa guise et surtout à son avantage. Forcément, cette domination pose question.

TC : Je me demande bien où cela va nous mener… Nous verrons bien… Question suivante ! Nous rentrons dans une ère basée sur la qualité d’un site et où le principe clé est de « Bien faire son boulot ». Qu’est-ce pour toi une bonne stratégie SEO en 2014-2015 ?

LM : Pour moi, la qualité du site a toujours été le plus sûr moyen de réussir, en SEO ou en marketing de manière générale.
Pour moi, une bonne stratégie SEO en 2014, c’est celle qui prolonge la stratégie marketing. Créer de la valeur pour l’utilisateur est une nécessité absolue. Cela étant dit, le SEO est rarement responsable de la stratégie marketing du site sur lequel il bosse. Peut-être a-t-il parfois la possibilité de compenser sa faiblesse en ré-orientant et en restructurant les contenus.
Le SEO est une composante du webmarketing, ni plus, ni moins. Ne pas demander l’avis d’un SEO sur un positionnement webmarketing est presque toujours une aberration. Exiger qu’il rende profitable une stratégie marketing creuse l’est tout autant.

Interface pour les liens dans SeeUrank
Les liens dans SeeUrank

TC : Ca fait du bien de lire des choses pareilles quand on se fait limite insulter de brasseur de vent sur le web ;) Comment vois-tu l’avenir de la recherche (le search) ? Qu’aimerais-tu voir au sein des moteurs de recherche ?

LM : J’imagine que la notion de Search va incorporer de manière croissante la notion de recherche implicite. L’utilisateur se verra de plus en plus proposer des informations/produits en dehors d’une action de recherche explicite, sur son mobile (ou sa smart watch), à la maison, dans la voiture, et caetera. Google Now dont je parlais précédemment en est un prémice.
A mon avis, l’enjeu principal pour les acteurs du web et les SEO ne sera pas technique mais logistique. Car cette recherche implicite va être une occasion supplémentaire pour les géants du web de capturer une audience et d’y poser des péages.

TC : Comme pour Panda, Penguin et Co, on s’adaptera. Une des qualités premières : l’adaptation ! Dernière question : As-tu des nouvelles fonctionnalités ou encore des nouveaux projets pour Yooda à nous communiquer ?

LM : C’est délicat de parler de nos projets maintenant sans en dénaturer le sens. Ce que je peux dire c’est que nous démarrerons cet automne un nouveau cycle (et cela va ce voir) dont un très gros projet pour l’année prochaine.

TC : J’ai hâte de voir ça ! Un dernier mot pour la fin ?

LM: « Mot » ! (déjà fait ?)
Merci Thomas. Tes questions m’ont poussé à formuler mes idées sur des sujets que j’ai peu l’habitude d’aborder.

TC : Ravi que mes questions t’aient plu ! Je te souhaite à toi et à Yooda une bonne continuation et un bon courage pour l’avenir ! Merci encore pour ton temps  et à très bientôt !

Conclusion

Bizarrement, ce qui m’a le plus marqué lors de la réalisation de cet article n’est pas tellement le logiciel en lui même, mais le dialogue avec Lionel Miraton. Lionel est une personne qui possède ses propres idées, et son interview fût très enrichissante, notamment en ce qui concerne le SEO et Google.

Cependant, pour tout de même conclure sur cette review de SeeUrank, je dirais que c’est un très bon logiciel pour une stratégie SEO classique. Il touche à beaucoup de points essentiels, notamment la technique et le contenu, et sait nous donner les informations dans une interface ergonomique, intuitive et simple. Il répond bien aux attentes généralistes. Ses petits défauts devraient, selon moi, disparaitre dans le temps (surtout de ce que nous a dit Lionel sur les futurs projets de Yooda) et il n’y a, je pense, aucun souci à se faire pour l’avenir de Yooda.

Voilà, c’est terminé pour aujourd’hui ! Cet article de rentrée n’était pas une mince affaire, mais j’ai pris plaisir à le réaliser pour vous et j’espère vous présenter bientôt de nouvelles réflexions et articles sur le SEO. Si vous avez des questions ou des remarques à faire, n’hésitez pas à rédiger un commentaire ci-dessous, je vous répondrais avec plaisir. Bonne continuation à tous et à très bientôt !

Commentaires

      Lionel - Yooda

      says:

      Bonjour Thomas, et merci pour cette mise en lumière.

      Une précision sur la vitesse de traitement. En fait, elle n’est pas limitée par la connexion ou la capacité du logiciel. Les limites sont soit dans le volume que les moteurs de recherche acceptent de livrer (avant d’envoyer le célèbre captcha), et par les sites analysés eux même. Nous sommes obligés de limiter la vitesse de crawl pour ne pas faire tomber les serveurs des sites analysés, ou pour ne pas dépasser les quotas des moteurs.

      C’est d’ailleurs tout l’intérêt de la version SERENITE qui inclut un réseau de proxies géré par Yooda, et qui permet donc de s’affranchir de ces limitations.

        Thomas Cubel

        says:

        Bonjour Lionel,

        Ce fût un plaisir ! J’ai hâte de voir les nouveautés que tu as annoncé ! Merci encore pour ton temps !
        Pour la vitesse, je comprends bien. J’en ai d’ailleurs parlé au début de la vidéo.
        Cependant, j’étais en version sérénité et cela m’a surpris. Peut-être une mauvaise configuration, j’étais dans le feu de l’action et j’étais un peu plus focalisé sur ma voix qui partait dû à une extinction ^^
        J’édite le post pour les explications ;)

        A bientôt !

          Sylvain

          says:

          Salut, je suis un utilisateur in-house heureux de Yooda :)
          Le service commercial est super réactif et toujours sympathique.
          J’ai tout de même un bémol : la partie « popularité », qui ne trouve quasiment aucun lien chez les concurrents, et pas la totalité sur le site de prod que l’on a pourtant synchronisé avec GWT. Je sais qu’on peut utiliser Majestic ou Ahref pour faire fonctionner les deux solutions ensembles, mais c’est un coût supplémentaire et conséquent. J’espère que cela va s’améliorer à l’avenir :)

            Thomas Cubel

            says:

            Bonjour Sylvain,

            Merci pour votre commentaire.
            Ravi que Yooda fasse des heureux :)
            Effectivement, le service commercial est super réactif, professionnel et sympathique ! J’ai eu l’occasion de parler avec eux à maintes reprises.
            Concernant la partie popularité, j’ai choisi d’être indulgent car SeeUrank fait déjà beaucoup de chose et je suis sur que l’ajout de Majestic et/ou ahref complète ces données limités pour les backlinks. On aurait aussi pu citer la partie sociale avec les likes, +1, retweet qui n’est pas présente et d’autre choses, mais un outil ne peut pas tout faire, ou s’il fait tout, je veux son nom ;)
            De ce que Lionel a pu dire dans l’interview, ça sent la refonte de quelques trucs ;) Wait and see !

            Bonne continuation et à très bientôt j’espère !

              Sylvain

              says:

              Du coup ca m’a donné envie de regarder la vidéo. Je partage tout à fait ton avis. Je tiens à préciser aussi qu’étant un utilisateur de la version Ip les analyses sont très rapides ET permettent en plus de géolocaliser les recherches.
              Bon j’ai compris aussi que nous allons devoir investir dans Majestic…

                Arthur Cassarin-Grand

                says:

                Très bon article :) Nous essayons la solution Seeurank depuis un peu plus d’un mois et nous en sommes satisfaits, je suis d’accord avec ton analyse. Rien que les IP sérénité, c’est de précieuses dizaines de minutes de gagnées quotidiennement. Mis bout à bout sur un mois, rien que ça, c’est déjà un sacré ROI.

                Je trouve toutefois que le logiciel manque parfois un peu de clarté dans la lecture des données.

                Par exemple, la présentation des données de positionnement.

                J’ai été habitué au à la suite PowerSuite SEO et je dois avouer que les tableaux de résultats étaient plus lisibles. La police d’écriture plus grosse et surtout l’ordre des colonnes était personnalisable. Si la fonctionnalité existe sous Seeurank, je ne l’ai pas vu. Je suis dérouté par l’ordre « position » > « ancienne position » > « mot clé », que je trouve peu logique. L’ordre « Mot-clé » > « Position actuelle » > « variation » > « ancienne position » me semble plus clair. Et en plus, le nom du moteur prend pas mal de place, pourquoi pas simplement une icône ?

                Ce sont des détails, certes, mais plus de clarté c’est aussi du temps gagné.
                La solution simple serait d’avoir la possibilité de personnaliser un peu plus son tableau de bord, chacun ferait sa sauce, car tous les goûts sont dans la nature !

                Quoi qu’il en soit, je suis très content de Seeurank. Mention spéciale pour les webtools. Et je salue également l’équipe de Yooda que je trouve fort sympathique et très professionnelle.

                  Thomas Cubel

                  says:

                  Bonjour Arthur,

                  Merci pour votre commentaire et pour ce retour à propos de SeeUrank. Effectivement, il y a certaines choses qui ne sont pas très claires, mais je pense que les projets pour 2015 vont changer un peu tout cela. A voir ;)
                  Pour les IP sérénité, je ne pense pas l’avoir utilisé, il semble y avoir eu un bug avec la licence, mais de mémoire, le service commercial m’avait parlé de 20 à 30 min en fibre optique. Je verrais bien lors d’un prochain test !

                  Bonne continuation et à très bientôt !

                    Sylvain

                    says:

                    Hey,

                    Du coup nous avons investit dans une licence Silver Majestic et l’ensemble tourne de manière formidable. Parfait pour le reverse engineering et la veille ! Pour des besoins internes c’est vraiment une solution très complète et peu couteuse !

                      Thomas Cubel

                      says:

                      Hello,

                      Parfait ça, merci pour le retour ! :)
                      Bonne continuation !

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